
L’orthographe est souvent perçue comme un fardeau que l’on traîne depuis sa prime jeunesse et que l’on continue, vaille que vaille, de porter à l’âge adulte… C’est-à-dire que socialement, il est pénalisant d’avoir une mauvaise orthographe (honte à qui ne maîtrise pas ses accords !) et que ses nombreuses difficultés et irrégularités la font vivre à bien des locuteurs et des scripteurs comme une épreuve, un supplice…