Dans Sido, Colette évoque le souvenir de sa mère, l’inoubliable « Sido », qui régna sur son enfance et l’initia aux joies d’être au monde. Elle nous parle aussi de son père, « le capitaine », de sa sœur aînée, « l’étrangère », et de ses deux frères, « les sauvages », de l’amour qui unissait ses parents et de son enfance heureuse. Les Vrilles de la vigne, collection de courts textes, anecdotes, dialogues, donnent à lire une Colette en pleine émancipation, souhaitant s’affranchir de son mariage avec Willy et s’affirmer en tant que femme et autrice.