
La puissance des entreprises globales est devenue telle qu’il faut recourir à la mythologie pour en mesurer la démesure : de Walmart à Ikea, de Microsoft à Apple, de Huawei à Airbus, les Géants mondiaux et les Titans numériques caracolent en tête et creusent l’écart avec le reste du peloton, quel que soit le critère retenu – productivité, innovation, expansion internationale, part de marché ou profit.
Mais le « très grand » n’est-il pas devenu « trop grand