
Le but de l’ouvrage que vous tenez entre les mains est de dire que la littérature ne doit pas être édulcorée, nettoyée ou purifiée. Les meilleurs livres sont souvent salaces, répugnants, couverts de crachats, obscènes, exploitent ce qu’il y a de plus voyeur en nous, exposent ce que la société voudrait masquer, révèlent la face obscure de notre humanité. Mais surtout : ils se mêlent de ce qui ne les regarde pas. Un bon livre est celui qui ne donne pas de leçons. F.B.